Ca ne fait pas une demi-heure que j’ai commencé, que je pleure déjà. Ce n’est pas ainsi que j’imaginais mes débuts à la Terre Ô Fées. Lorsque j’ai découvert la cuisine créative, locavore et biologique de ce restaurant neuchâtelois, j’ai su qu’il fallait que j’y fasse un stage. Ayant sympathisé avec les propriétaires, ils m’ont accepté pour une semaine de travail, soit du jeudi matin au dimanche après-midi en arrière-salle.